PORTRAIT PARTENAIRE : 35° NORD
// NOS PARTENAIRES PRENNENT LA PAROLE // Ils sont partenaires depuis le début de l’aventure du Vendée Globe ou l’ont rejoint en cours avec une motivation et une énergie sans faille, ont tout de suite cru en mon projet sportif et humain et continuent de me soutenir avec les années. Au fil du temps nous sommes devenus des amis au-delà d’être des partenaires … dans cette série de portraits je vous présente mon club partenaires.
Philippe Perdrix, dirigeant de 35°NORD – Agence de communication spécialisée sur l’Afrique
Partenaires depuis le Vendée Globe 2020.
Comment avez-vous rejoint l’aventure ?
J’ai une maison à Crac’h et le monde de la course au large m’a toujours fait rêver. J’ai fait la connaissance de Romain à l’occasion d’un team building organisé à Port-la-Forêt avec Michel Desjoyaux, lors duquel Romain skippait un des trois Figaros sur lequel nous avons navigué avec mes équipes. On était avant le Vendée Globe 2020 et lors du dîner il m’a présenté son projet sportif. Je l’ai écouté sans me dévoiler…
Quelques mois plus tard je l’ai recontacté pour lui dire : « Nous sommes prêts à rejoindre ton Club Partenaires ».
Quels sont les moments forts que vous retenez ?
Il y en a eu beaucoup !
Le départ du Vendée Globe 2020, le passage de Romain au large du Cap Horn et le fait que sur tout ce parcours incroyable, il y avait 35° Nord sur la bôme. J’ai trouvé ça très beau : une sorte d’aventure par procuration.
Lorsqu’il a passé le 35° parallèle (Tanger – Gibraltar, la latitude qui rejoint l’Europe et l’Afrique et qui est à l’origine du nom de notre entreprise), Romain a eu l’immense classe de diffuser un message sur ses réseaux dédié à 35° Nord.
Les équipes ont été particulièrement touchées par cette attention. Je me souviens aussi avec beaucoup d’émotion de son message au large du Cap Horn.
Au-delà de ça, les départs et les arrivées de course ainsi que les navigations partenaires sont toujours de grands moments de partage.
Qu’appréciez-vous dans ce projet (pour votre équipe, votre image de marque, votre culture d’entreprise etc.) ?
Tout d’abord, j’ai un gout personnel pour la voile depuis l’enfance. Ensuite, j’ai été séduit par la manière dont Romain a conduit son projet : son côté entrepreneur avec lequel je m’identifie en tant que chef d’entreprise, et ce côté obstiné qu’il a eu très jeune en se disant « c’est ce que je veux faire », et ce en n’étant pas né Breton ! Depuis, une relation personnelle s’est tissée entre Romain et moi et je suis très heureux d’accompagner le projet et l’homme. C’est aussi une façon pour moi de « monter à bord » sans en avoir le talent !
Il y a un attachement à la personne et à l’esprit du projet : ce mélange de partenaires titres et cette communauté de partenaires Sixième Océan, cela donne une énergie au projet. Les partenaires titres jouent aussi bien le jeu Sixième Océan ; ils nous laissent une place. Nous formons une communauté. L’ADN du projet de Romain repose sur ces acteurs très différents qui ont chacun une place importante dans le projet.
Pourquoi avez-vous rejoint l’aventure ?
Quand on est dirigeant, accompagner un skipper qui est lui-même entrepreneur et patron, c’est très inspirant.
J’aime bien discuter organisation et RH avec Romain. Mes équipes sont sensibles au côté entrepreneur, sportif et aventurier de Romain.
Quelles sont les valeurs que vous portez en commun avec Romain ?
L’audace et l’obstination sont les valeurs qui nous rassemblent.
Dans son parcours, Romain a fait preuve de pugnacité et a montré sa capacité à oser et à ne rien lâcher qui font de lui un entrepreneur et un sportif de haut niveau. Ses beaux résultats, son super bateau, et ses très gros sponsors, sont les fruits d’un projet qu’il a lancé il y a plus de 15 ans. De la même manière, nous avons été audacieux et obstinés chez 35° nord quand nous avons été les premiers à créer notre agence de communication sur l’Afrique il y a 10 ans. Je me sens comme un compagnon de route de Romain.
Si vous deviez convaincre un chef d’entreprise de rejoindre l’aventure que lui diriez-vous ?
Il ne perdra ni de son temps ni son argent parce que la voile est un sport qui a ce grand mérite de n’être pas si cher mais très mobilisateur pour les collaborateurs et les parties prenantes. Il y a un rapport qualité prix qui est très bon. En termes d’image, c’est un bon actif.